La Géorgie devient une juridiction de plus en plus populaire pour faire des affaires. La Géorgie offre une grande facilité de création et de gestion d'entreprise. L'absence de règles de contrôle des changes, l'entrée et la sortie libres de capitaux étrangers, le coût relativement faible des services, la stabilité du système bancaire, sa situation géographique, porte d'entrée entre l'Europe et de l'Asie font de la Géorgie une destination attractive pour les entreprises internationales hors UE. Il convient également de noter que la Géorgie ne s'est pas engagé en faveur de l'Echange Automatique d'Informations Bancaires ni sur les accords TIEA de l'OCDE.
Si les revenus de la Virtual Zone Entity ne sont pas distribués sous forme de dividendes, il n'y aura donc aucune imposition en Géorgie.
La législation géorgienne définit d'une manière très large les activités d'une VZE comme « toute entité juridique liées aux Technologies de l'Information". Toutefois une VZE doit, selon le texte de loi, intégrer dans son activité "tout processus de recherche, développement, soutien, conception, production et mise en place de systèmes d'information informatiques et de production de logiciels".
On peut donc dire, sur la base de cette définition, que tout produit/service en ligne produit et fourni par une entité VZE peut être considéré comme une "activité dans le domaine des technologies de l'information", à condition que cette entité mène des activités de recherche, de développement, de soutien et de conception et soit titulaire des droits de propriété intellectuelle pour le produit concerné.
La VZE géorgienne devient une nouvelle solution très intéressante pour les entreprises informatiques internationales développant une clientèle offshore à partir de la Géorgie.